lundi 20 août 2007

Maudite pression sociale!

Ça commence à 3 ans, quand une amie a un jouet plus beau que le tien et que tu fais une crise pour avoir le même. Ça continue à 6 ans, quand tu te moques d'un collègue de classe parce qu'il a fait pipi dans ses culottes, même si ça t'es arrivé la soirée d'avant sauf que là, personne sauf tes parents l'ont constaté. Ensuite c'est à 10 ans lorsque tu décides de faire des erreurs par exprès sur ton test pour ne pas te faire traiter de nerd. À 16 ans c'est la première cigarette, et même si tu détestes le goût et que tu as la nausée, tu continues de la fumer parce que tu veux avoir l'air cool...

21 ans, finalement, FINALEMENT tu es rendu à l'âge adulte et tu ne ressens plus le besoin de suivre personne. Tu sais que peu importe ton style et ton comportement, tes amis resterons sûrement tes amis. Tu sais que ta famille sera toujours là, et si tu es chanceux, tu sais que ta douce moitiée t'aimes comme tu es. Ah que ça fait du bien...plus de pression sociale!

Yah right! Là tu commences à voir tes amis habiter avec leur chum ou leur blonde, donc bien sûr, ça te pousse à y penser également. Un peu plus tard, tes amis commencent à se marier...et là tu te demandes si tu devrais en parler à ton chum. Ah pis finalement, les petits bouts de choux commencent à se montrer le bout du nez...

C'est là où la pression sociale a recommencé pour moi. Le mariage, j'en veux pas... Déménager avec mon chum, c'est fait, mais j'ai quand même toujours une coloc (jusqu'à dans 2 semaines)... Mais quand ma soeur et 2-3 de mes amies ont eu des enfants dans la même année, ça m'a frappé! C'est sûr que la pression sociale est super différente. C'est pas parce que j'ai peur de ne pas être acceptée, ou parce que je veux être cool - et je veux réellement des enfants - mais le fait de voir mes amis passer à la prochaine étape, vivre toutes ces belles émotions que je n'ai pas encore eu la chance de vivre...je me suis soudainement sentie prête... et ce, pour la première fois de ma vie. J'avais presque une crise d'anxiété lorsque je pensais à des enfants avant! Mais là non, tout à coup je me sens prête...pourquoi?

Hypothèse #1 : J'étais prête bien avant, mais puisqu'aucune de mes amies proches avaient des enfants, je ne voulais pas être la seule à rester à la maison à élever un enfant lorsque les autres profitaient encore de leur vie de jeunesse! (Pression sociale)

Hypothèse #2 : Toutes ces amies qui ont des enfants ont fait kické in mon horloge biologique tout d'un coup... (hmm, peu probable)

Hypothèse #3 : Je ne suis pas réellement prête à en avoir, mais je pense l'être vu que la majorité de mes amies qui ont mon âge et un comportement similaire au mien en ont. (Encore pression sociale)

Hypothèse #4 : J'ai découvert que changer des couches m'apporte un bonheur inexplicable! (...)

Tout ça pour dire que cette maudite pression sociale est revenue et reviendra sans doute à l'avenir...

Mais bon, finalement j'ai décidé (avec l'aide de mon chum qui fait encore des crises d'anxiété quand on lui parle de bébé) de me calmer les hormones et d'attendre encore quelques années avant d'avoir un enfant. ;)

jeudi 22 mars 2007

C'est peut-être Maybelline...

Ben oui...une chronique fille sans post de marquillage, ben voyons donc! Moi qui a commencé à me maquiller à 13 ans (pour avoir l'air plus vieille) et qui me maquille toujours (pour avoir l'air plus jeune... quelle ironie!), je devais au moins faire un post là-dessus. Quand j'ai commencé à me maquiller, c'était au début des années 90. La mode était encore (en tout cas par chez-nous!) le maquillage très peu subtile des années 80. Rouge à lèvre rouge vif ou fushia, couleurs pastelles comme far à paupières, et pour certains, le petit point fake qu'on se faisait en dessous du nez au crayon pour ressembler à Madonna! Et ça, c'est sans parler des cheveux!!!! Que voulez-vous, même les mullets étaient populaires dans l'temps... Mais ça on en parlera dans un autre post tiens.

Anyway, le but de ma chronique c'était pas de retourner en arrière, mais de vous parler d'une petite découverte que j'ai faite quelques années passées. Je dois premièrement vous dire que malgré le fait que j'aime bien me maquiller, je ne suis pas du style à passer aux toilettes aux demi-heure pour m'assurer que mon maquillage est encore intact. J'aime bien pouvoir me maquiller qu'une seule fois dans la journée et that's it. C'est pourquoi la première fois que j'ai vu la pub sur les rouges à lèvre long lasting, ça a piqué ma curiosité. Je me souviens que lorsque j'étais jeune, j'avais déjà eu un genre de gloss qu'on plaçait sur le rouge à lèvre et qui supposément faisait en sorte que le rouge à lèvre ne parte pas. Ça avait finit par me sécher les lèvres et ça ne fonctionnait même pas. Qu'importe, j'ai décidé de me rendre au Shopper's quand même et de me procurer le nouveau rouge à lèvre Superstay de Maybelline. J'ai toute suite adoré!

Premièrement, le rouge à lèvre est très liquide, donc on n'a pas l'impression de se placer de la grosse graisse de baleine sur les lèvres. Après avoir placer le rouge à lèvre, celui-ci sèche un peu et là tu met un genre de gloss incolore par dessus (ce qui empêche tes lèvres de sécher). FINI les petites marches à la salle de bain aux demi-heure pour replacer son rouge à lèvre....FINI les traces de rouge à lèvre sur le bord d'un verre après avoir bu et en plus, le rouge à lèvre dure plus longtemps puisque j'ai seulement besoin d'en mettre 1 fois par jour (sinon 2 si je décide de sortir le soir). Finalement, je sais pas si c'est la texture ou quoi, mais je trouve qu'il trace très bien les lèvres, donc plus besoin de crayons pour dessiner la forme des lèvres.

Ah pis pour les gars qui lisent mon article, ça l'air que le rouge à lèvre ne goûte rien (comparé aux autres sortes) donc c'est un avantage pour vous-autres aussi!

jeudi 8 mars 2007

Bonne journée de la femme!

Au lieu de le mettre dans mon titre de MSN comme la majorité des femmes feront sûrement aujourd'hui, j'ai décidé de le mettre dans mon blog au lieu.

Bonne journée de la femme à toutes celles qui me liront aujourd'hui. N'oubliez jamais le chemin que plusieurs femmes ont fait pour qu'on puisse vivre comme on le fait aujourd'hui. Ah pis tant qu'à faire, donnez donc une tape derrière la tête de votre chum en arrivant ce soir et dites-lui : Ah! J'ai le droit c'est le jour de la femme!

vendredi 23 février 2007

Les clubs de danseurs - definately not my thing

Environ 6 ans passés, je suis allée visité une de mes bonnes amies qui vivaient alors en banlieue de Toronto. Ce fut ma première fois en avion, ma première fois en Ontario et ma première fois... au club de danseurs!

Bon, j'avais toujours su que dans un club de danseurs, les filles devenaient wild. Il faut savoir que la majorité des filles qui vont dans ces clubs y vont en gang alors c'est sûr qu'une gang de filles ensembles, avec quelques verres dans le corps et devant de beaux gars très peu vêtus, ça se chavirent.

J'avais quand même assez hâte d'y aller, vivre l'expérience, voir c'était quoi le trip d'aller là. Après s'être préparées, voilà que moi, ma bonne amie et quelques unes de ses amies que je ne connaissais pas partons pour le strip club!

Arrivées là, on s'asseoit et on se commande quelques verres pour se réchauffer un peu. Le premier gars embarque sur le stage. Il est déguisé bien sûr... je ne me souviens plus quel costume il a, mais ça doit être un pompier ou quelque chose du genre. Bon, il enlève un morceau, tout va bien, les filles ont du fun, elles rient, elles crient, etc. Vers la fin de ce premier spectacle (car il en a bien sûr eu quelques uns), c'est là que le traumatisme commence! Je vois une ligne de filles qui payent pour aller se coucher sur le stage afin que le gars en question se couche par dessus elles et simule l'acte (habillé bien sûr).

Bon, c'est pas la fin du monde, je l'admet, mais j'ai trouvé ça tellement dégradant pour ces filles là il me semble. Et est-ce que ça donnait vraiment quelque chose? Suis-je prude? Je ne crois pas. Suis-je timide? Oui un peu, mais je crois que ce n'était pas de la timidité dans ce cas ci. Je ne voyais juste vraiment pas le but de se dégrader à ce point pour un petit peu d'excitation qui n'aboutirait à nul part. En fait, je ne voyais pas non plus comment une fille pouvait se sentir excitée par ça. Il me semblait qu'en général, les filles aimait la sensualité, les sentiments, se sentir désirée. Dans ce cas ci c'était plutôt "j'ai juste besoin que quelque chose se frotte sur moi". En tout cas, dégradant...

Plus tard dans la soirée, les copines de mon amie me trouvaient un peu timides et décident de me payer une danse!!! Là c'était vraiment le comble de mon traumatisme (ça se dit tu ça, le comble de mon traumatisme? J'suis certaine que vous comprenez ce que je veux dire anyway...)!

Ce gars (déjà que ce n'était pas celui que j'aurais choisi) arrive vers moi pis là, of course, toutes les filles assises avec moi me pointent et se mettent à crier et à tripper. Le gars se met à se frotter contre moi et à respirer très fort dans mon oreille...en me chuchotant des choses comme "you like this don't you?" What the hell man! Pis là y a les filles l'autre bord de la table qui me crient des "Come on! Pogne-lui les fesses!!!", ce que je fais bien sûr pour ne pas briser le party...mais dans ma tête j'veux juste pas être là. Je trouve l'expérience tellement superficielle, weird, dégradante pis comme vraiment pas plaisante. Le spectacle aurait grandement suffit disons. Bon, je remercie quand même ces demoiselles car je suis certaines qu'elles l'ont fait avec la meilleure des intentions quand même.

Donc voilà, assise à une table à admirer le spectacle en gang, ça va - mais rapport qualité/prix(de la bière, de l'entrée, etc.) et les danses individuelles, je ne le suggèrerais pas à personne. Je préfère de beaucoup m'organiser une petite soirée sexy avec mon chum à la maison!

mardi 13 février 2007

My girlie movies

Hé oui, c'est mon petit péché. J'aime les girlie movies (ou chick flicks). Pas les teenage girlie movies, mais les girlie movies. Les histoires d'amour, dramatiques, familiales, comédie romantique, etc. Enfin, je suis très ouverte à tout type de films, mais puisqu'on est dans la section chronique filles, je vais vous énumérer quelques-un de mes girlie movies préférés (bien sûr, on parle ici des girlie movies seulement... si je faisais une liste de mes films préférés, certains de ceux-ci prendraient le bord).

  1. Moulin Rouge : J'aime bien les musicals en général. Ce film là m'a fait découvrir Nicole Kidman que j'apprécie beaucoup comme actrice.

  2. Crazy/Beautiful : Le premier film où j'ai vu Kristen Dunst. Une histoire d'amour entre une fille rebelle venant d'une famille riche et un gars venant d'un quartier très pauvre et décidé de faire son chemin dans la vie. L'histoire d'amour était bien, mais c'est surtout l'histoire entre la fille et son père qui m'a touché. Je pleure comme un bébé à toutes les fois que je le regarde.

  3. Much Ado About Nothing : Comédie romantique inspirée de l'histoire de Shakespear du même nom (je crois?). Drôle, touchant, triste et bonne musique. Y a tout dans ce film.

  4. Le fabuleux destin d'Amélie Poulain : Je l'aime probablement pour la même raison que tout le monde l'aime. Ce petit côté romantique, rêveur, poétique du film. C'est juste sweet.

  5. Mad Love : Il fallait au moins que je nomme un film avec la reine des comédie romantique (Drew Barrymore). Bon, celui-ci est plus dramatique que comique, et c'est peut-être pour ça qu'il m'a plus marqué. Pour une raison quelconque, les girlie movies que je préfère portent souvent sur des filles ayant des problèmes. Voir prochain point...

  6. Girls, Interrupted : Une fille (Wyonna Rider) se fait placé en centre d'aide psychiatrique après avoir essayer de se suicider.

  7. Thirteen : Bon ok, j'avais dit pas des teenage girlie movies, mais celui-ci est différent. En regardant la pochette du DVD - où on voit 2 jeunes adolescentes avec la langue tirée afin de voir leur piercing - ça n'a pas l'air d'un film très harsh. Par contre, dans les 2 premières minutes du film tu t'aperçois que ce n'est pas ce que tu penses lorsque tu vois deux jeunes adolescentes en train de se frapper dans le visage (et où une d'elles saignent) en riant. Ca démontre très bien l'influence que les adolescents peuvent subir des autres et c'est un film très touchant.

  8. Dirty Dancing : Un classique des girlie movies. Plus une question de nostalgie que d'autre chose puisque c'est un des premiers girlie movies que j'ai dû voir (et j'aimais right la musique!)

  9. What Women Want : Je ne sais pas vraiment pourquoi je l'aime celui-là, mais à chaque fois qu'il passe à la télé, je dois le regarder. Drôle pis sweet I guess...et c'est toujours le fun voir un gars se waxer les jambes.

  10. Eternal Sunshine of the Spotless Mind : Bon ok, c'est peut-être pas considéré comme un girlie movie, mais j'ai adoré ce film et ça parle quand même d'une histoire d'amour. J'ai tellement trouvé ce film là réaliste... et je ne parle pas ici de l'histoire comme tel, mais plutôt des personnages. J'ai aussi particulièrement aimé la façon que le rêve est représenté dans ce film.

  11. What Dreams May Come : Je ne suis pourtant vraiment pas une fan de Robin Williams, mais j'ai toujours bien apprécié ce film. Pas nécessairement pour les rôles, mais plutôt pour son côté visuel. Je trouve tout simplement ce film beau!

  12. My Best Friend's Wedding : Que serait une liste de girlie movies sans un film avec Julia Robert! J'ai trouvé ce film bien drôle et l'fun. Le seul bout où j'ai un peu de misère c'est la partie de Karaoke avec Cameron Diaz...iiiish!

  13. As Good as it Gets : "You make me wanna be a better man". Combien de fois ai-je entendu ou lu cette citation? Film où un homme souffrant de troubles obsessifs compulsifs et un peu solitaire et grincheux rencontre une jeune dame et tombe en amour. On le déteste au début du film et on l'adore vers la fin.

  14. Grease : Ben là, c'est un classique. Malgré que je n'aime pas vraiment le message du film : "pour que ton chum t'aime, tu dois changer et opter pour un look slutty et devenir quelqu'un d'autre", j'aime la musique et le film me fait rire.

  15. Ghost : Come on... Patrick Swayze et Demi Moore sont hot là dedans!

Je vais arrêter ici. J'ai presque peur d'en oublier des importants (j'ai pas une bonne mémoire)...mais bon, j'ai toujours l'option d'éditer mon post à nouveau :)

vendredi 2 février 2007

Un bébé...moi?

Ben oui... j'ai décidé d'annoncer la grande nouvelle sur mon blog. Comme ça je pourrai voir combien de gens me lisent à mon baby shower. Ah c'est vraiment une surprise, pour moi ET pour Sébastien... En plus, quel bon temps pour annoncer la nouvelle que pendant la semaine de la famille!

Non mais vraiment, ce post est plutôt pour parler de la semaine de la famille, ou plutôt du fait que tous les gens qui m'entourent sont en train de fonder leur petite famille (et non du fait que je sois enceinte parce que, c'est pas vrai voyons! Trojan is still my buddy for a while!). Premièrement, d'un jour à l'autre ma soeur va donner naissance à mon premier petit neveu (voir le blog à Félix), ma bonne amie d'enfance Louise est enceinte, mon autre amie d'enfance Cindy a accouché quelques mois passés, ma collègue au bureau est enceinte (et je lui avais prédis...creepy!), j'ai deux cousines qui sont enceintes... et y en a sûrement que j'oublie toute suite. Tout ça pour dire qu'en regardant tout ça, je me demande "Et moi? Est-ce que je serais prête?".

Apparament qu'une personne n'est jamais vraiment certaine d'être prête. It happens and you deal with it. Alors pour répondre à ma propre question, non, je ne me sens pas encore prête. Par contre, si on me parlait de bébé ou de mariage 2 ou 3 ans passé, j'avais soudainement une crise d'anxiété. Maintenant que la question de mariage n'est plus un enjeu (puisque ni moi, ni mon conjoint y voyons vraiment une utilité), il ne me reste que la question d'un enfant, et je dois dire que ça m'inquiète beaucoup moins qu'avant. Je commence à me voir mère dans un avenir plus proche. Je ne sais pas vraiment ce qui a changé. Je suis plus organisée qu'avnat, j'ai une vie plus stable, un emploi plus stable, un chum qui serait d'après moi un excellent père? Un mélange de tout ça peut-être. Ce qui est certain, c'est que j'aimerais avoir un enfant avant mes 35 ans. J'ai justement eu une petite frousse dernièrement en réalisant que j'allais avoir 29 ans la semaine prochaine...jusqu'à ce que je refasse mes calculs et que je réalise que j'allais juste avoir 28. Il me reste donc encore quelques années à faire le grand pas. Ça va mal, je commence déjà à ne plus savoir mon âge!

jeudi 25 janvier 2007

La poupée Barbie

Ahhh, combien de fillettes se sont amusées pendant des heures avec cette petite poupée impossiblement parfaites, simulant un amour parfait entre celle-ci et son amoureux Ken qui était bien sur, un homme parfait. En créant une section de chroniques filles, je ne pouvais passé à côté de ce jouet qui a tellement occupé mon enfance.

"J'ai vu la lumière!!!" s'écriait la blonde à mon père à ce moment là - qui était également la mère de ma "partner in crime" au jeu de barbie - alors que moi et Louise fermions la lumière et cachions les barbies sous les couvertures afin de faire semblant de dormir. Nous pouvions joué des heures et souvent, nous dépassions l'heure du dodo. J'ai tellement souvent joué avec elle que je ne me souviens plus exactement à qui appartenaient certaines poupées ou accessoires. Par contre, je me souviens qu'entre nous on devait avoir plusieurs poupées barbie ordinaires, l'adolescente barbie, le bébé barbie, plusieurs types de poupées Ken (mon préféré était un Ken supposément "rocker"...son nom n'était pas Ken, mais j'ai complètement oublié... il était hot... les cheveux noirs avec des mèches!), il me semble que nous avions également une voiture (probablement la corvette rose de Barbie), un ensemble de pic-nic (tables, chaises, accessoires), et des vêtements en masse! Je me souviens aussi que, dans mon cas, il n'était pas question d'avoir une barbie avec les cheveux bruns! Si elle n'était pas blonde, ce n'était pas une vraie Barbie pour moi. J'allais encore moins joué avec celles qui coûtaient moins cher, en plastique plus fragile et avec souvent trop de maquillage. Par exemple, ça c'était une vraie Barbie alors que ça, je ne les aurais même pas sorties de leur boîte. Il nous fallait de la qualité!

Malgré tout ce qu'on peut dire en mal des poupées Barbie, je crois qu'en général ces jouets étaient très bon pour développer la créativité et l'imagination d'un enfant. On créait pratiquement de petites pièce de théatre avec ça! À bien y penser, je crois même que le fait que mon frère soit si bon graphiste aujourd'hui soit en partie parce que je l'aie forcé à jouer au Barbies...mais tu n'as pas à me remercier Ghislain :)